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L'Empire Arodien

Si vous aimez  Discipline militaire, Joutes verbales, Fierté :  
Bienvenue parmi les citoyens !

Si vous aimez Autonomie, Chaos, Anarchie :
Bienvenue chez les autres

D’aussi longtemps que remontent les mémoires et écrits d’historien, les temps qui précédèrent l’empire arodien furent une époque de conquêtes et de violence. Les vestiges architecturaux que l’on peut voir sur tout le territoire prouvent qu’il avançait sans relâche, fortifiant des villages, ruinant les terres. A cause de la Longue nuit, L’Empire s’est écroulé sur lui-même, emportant de trop nombreuses victimes. Au fil des années, la population, très organisée par nature, s’est relevée. Avec un nouveau pouvoir politique pour la guider, elle reconstruit des villages à l'aide de nouveaux matériaux, restaurant l’usage des routes et des communications, bien que dégradées. Les métaux sont réapparus mais en trop faible quantité pour recouvrer la gloire antique. Aujourd’hui, l’Imperium - le couple impérial - règne à la tête d’un peuple fier dont toute la vie s’articule  autour du devoir militaire.  

Ancre 1

L'Empire, l'Armée, le Peuple»

par Hektar Arstid, Sénateur, Sociologue impérial

Les légendes disent que c’est la Longue Nuit qui stoppa l’appétit du futur empire. Les empereurs qui suivirent ne relancèrent jamais la machine à conquêtes et s'attellèrent à guider le peuple pour sa survie.


Les citoyens aiment à porter du blanc pour les cérémonies et moments officiels. Toutefois, leur sens pratique les conduit se vêtir de manière adaptée à la situation. Ils s’équipent d’armes et parties d’armures en cuir. L’armée n’a plus les moyens d’une parfaite uniformité et a perdu de sa superbe. Les citadins affirment visuellement leurs courants politiques dans le choix de vêtements et accessoires : envie d’échanges avec les cultures, mise en avant du commerce, contrition, etc. Bijoux et parures ont pour objectif de poser la fortune de sa famille. 


Militaires avant tout, leur pas ordonné et les chants rythment la vie quotidienne, même pour les paysans au travail. 


L’économie intérieure est basée sur l’Arros, la monnaie impériale, ainsi que sur les normes législatives. Tout  est organisé, noté et vérifié.  Vis-à-vis de l’extérieur, tout est selon le peuple en interaction. Dans le langage courant, le peuple impérial fait souvent référence au Codex. Les débats, arbitrés par les légats, naissent de l’interprétation des textes. 


Les journées des citoyens sont ponctuées par les obligations militaires : entraînements, rescencement, rapports. Ils viennent organiser la journée de travail civil.  En dehors de la politique et des conflits judiciaires qui pimentent le quotidien des plaisirs des joutes oratoires, le peuple impérial est soudé, appréciant la vie en groupe. Les citoyens ne sont jamais seuls : liés par une amitié qui transcende toutes les adversités. 


Nos boucliers et nos glaives ont traversé le monde de part en part. L’armée impériale est la plus grande que le monde ait jamais porté.

Les  tendances sociales

Les tendances sociales permettent de présenter en un graphique l’importance donnée par un peuple à différentes axes : diplomatie, spiritualité, combat, érudition, artisanat… Il ne s’agit aucunement d’une proportion en nombre de personnes au sein du peuple, mais plutôt de ce qui est plus ou moins important pour chaque personne de ce peuple. 

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Leur perception des autres peuples

Les Hellias : « Mystérieux, mais bons marchands, fournisseurs de matériaux difficiles à trouver de nos jours.  Soyons prudents : ils ne notent rien et des rumeurs disent que les voyageurs ne reviennent pas de leurs terres. »


Les Abnobas : « Des barbares, violents depuis la nuit des temps. Ils paraissent incapables de réfléchir et attaquent nos caravanes. Mieux vaut ne pas leur faire confiance. »


Les Zahadi : « Des érudits, très intéressants mais compliqués à aborder. Ils refusent d’intégrer notre monnaie aux transactions. »

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