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Le peuple ZahadA

Si vous aimez  Jeux sociaux, Honneur, Erudition, Mystères : 
Bienvenue parmi les Zahadi !

Si vous aimez Rebellion, Equité sociale, Discrétion :
Bienvenue chez les autres

Zahaad est la grande cité mythique, que la légende dit détruite au cours Grand Cataclysme, posée dans les rebords du Monde, à la fin du Désert Infernal. Elle serait couronnée de la Tour d’Ivoire, la Source du Savoir, un lieu de connaissances inépuisables et d’études des arts occultes et bénis par la Flamme. Un oasis rendrait les terres agricoles de la cité vivables, et pourvoirait les villages alentours. Depuis le Cataclysme, le cœur de Zahaad serait inaccessible, même pour les plus aguerris à la survie dans le désert. Le peuple zahadi est devenu nomade et a appris a se déplacer en caravanes, tentant de conserver son savoir, essence de sa civilisation, et de continuer à le faire croître grâce aux découvertes nouvelles.

« Les enfants du Feu  »

par Hektar Arstid, Grand Anthropologue imperial

Avides de connaissances et fin érudits, conservateurs du savoir, les Zahadi sont tous lettrés. Ils disposent toujours de parchemins et de moyens d’écrire lors de leurs voyages. Nomade et se disant lié à la magie par essence, ce peuple est tout de même pourvu de guerriers et d’éclaireurs. Ils préfèrent les armes à distance et légères : ils n’apprécient pas l’encombrement ni la lourdeur. L’art de la guerre est reservé à une élite.
Curieux des cultures, danseurs, chanteurs, festifs en dehors des moments d’érudition, les Zahadi accueillent  les étrangers avec chaleur dans une zone dédiée du campement. Ces derniers ne peuvent s’adresser qu’à certains Zahadi - les autres les ignorent ou évitent leurs regards.
La société zahada est matriarcale. Selon ces gens, « la filiation maternelle est sûre, la paternelle est uniquement déclarative ». Ils ont fait des femmes le socle des familles, donc des clans, responsables de la perénnité et titulaires des pouvoirs de décision. Si j’ai pu rencontrer quelques rares hommes dans cette position, les chefs de clans sont le plus souvent des femmes, guerrières, épaulées d’un sorcier ou d’une sorcière. Les transgenres paraissent plus libres que les autres Zahadi et m’ont permis de communiquer avec les femmes. Echanger avec les Zahadi paraît codifié, compliqué. 
Tout clan a un foyer qui ne peut s’éteindre : « Perdre la Flamme reviendrait à la pire malédiction : dangers, souffrances... » 
Leurs hommages au feu se perçoit même dans leurs vêtements.
Leur rapport au commerce est lié à l’échange de faveurs et de connaissances. Ils ne paraissent pas connaître de système monétaire. Le système judiciaire paraît inexistant. 
La nourriture est épicée, mijotée, sucrée/salée, accompagnée de galettes de blé plates ou de riz. Les fruits et légumes frais sont très appréciés des Zahadi, bien que rares dans leur désert d’origine.

Les  tendances sociales

Les tendances sociales permettent de présenter en un graphique l’importance donnée par un peuple à différentes axes : diplomatie, spiritualité, combat, érudition, artisanat… Il ne s’agit aucunement d’une proportion en nombre de personnes au sein du peuple, mais plutôt de ce qui est plus ou moins important pour chaque personne de ce peuple. 

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Leur perception des autres peuples

L’Empire : « Ils ont le mérite d’être civilisés. Leur technique militaire au bouclier est efficace. Mais ils sont ... ennuyeux. Ils n’ont pas le sens de la fête et leur société est trop ... basique dans ses conceptions. »


Les Abnobas : « Leur magie ritualiste serait très intéressante à être apprise mais ils paraissent brutaux. Leur mode de vie paraît tout à fait particulier. »


Les Hellias : « Ce sont de bons pourvoyeurs de matériaux  et excellent tisserands. Mais ils sont maudits, abandonnés de la Flamme qui ne peut vivre chez eux. Méfiance. »

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